Bora Bora
Posté le 16 mai 2024 • 3 min de lecture • 439 motsUn petit paradis sur terre loin des clichés
Trop contents d’avoir réussi à revenir ici depuis Maupiti ! Effectivement, le Vomiti Express porte bien son surnom ! Une grande partie des passager a fait la traversée un sceau à la main, ou même allongé par terre… 😂 Par contre, la loose, j’ai oublié mes chaussures de trail à l’hébergement… Par chance, un Colombien qu’on avait rencontré plus tôt a pu les récupérer et me les ramener en avion. Trop de chance, j’y croyais plus !
Bref, revenons en à Bora-Bora, où nous avons donc séjourné en deux fois, entrecoupé par Maupiti. Cette île que l’on surnomme à juste titre, La perle du Pacifique, a un lagon incroyable.
Les habitants sont d’une telle gentillesse… Chaque rencontre ici redonne foi en l’humanité ! Ukulélé, bonne bouffe, colliers de coquillages, couronnes de fleurs… Les clichés sur la Polynésie ont encore de beaux jours devant eux !
Dès notre premier jour, on part en rando avec Maxime et Pauline (comme mes neveux 🫶) qui logent au même endroit que nous, avec qui on a super bien accroché. Cette rando nous mène sur les hauteurs de l’île et offre une vue à 360°. On revoit notre notion des couleurs ; ce qu’on appelait jusque là du bleu turquoise était en fait du bleu émeraude. LÀ c’est turquoise. Les dégradés qui se dessinent selon la profondeur des fonds nous laissent sans voix. Même si la montée m’a fait souffrir !
Souffrance qui n’est en rien comparable à celle du lendemain, lorsqu’on a fait le tour de l’île sur des vélos qui n’étaient pas de première jeunesse. 32km sur une selle qui reste au plus bas niveau pour moi, et au roulement avant cassé pour Dim ! Ça fera des souvenirs, mais c’était vraiment éprouvant !
Le stop est indéniablement mon moyen de locomotion préféré pour rejoindre la belle plage de Matira, son sable blanc et son eau cristalline.
Et puis, en vrac, on a :
Bora-Bora, un paradis terrestre qui s’étend jusque sous les eaux. Certains trouvent cette île surfaite ; pour notre part on y a trouvé une grande authenticité, peut être parce qu’on logeait loin des grands resorts (j’aurais pas craché dessus cela dit!)







